Suite à mon article sur le concert de Lenny Kravitz à Bercy, je vous proposais un petit concours pour gagner le dernier album de Lenny, « Black and White America » qui en plus,truc de psychodingue, contient un cd bonus avec 6 vidéos dont deux acoustiques inédits.
A gagner : CD + Bonus
[Gagnant du Concours – Lenny Kravitz ]
Il est temps de dévoiler le nom du gagnant.
Random.org s’est chargé du tirage au sort :
C’est donc le 13ème commentaire qui gagne.
« Phenicia », félicitations, tu as remporté l’album « Black & White America » et ses bonus.
Je te contacte par email pour l’envoi de ton lot.
Merci à tous pour votre participation. J’adore avoir de la lecture !
Rendez-vous très prochainement pour de nouveaux concours et en attendant, n’oubliez pas de liker la page facebook du blog !
Le 29 novembre, encore et toujours grâce à l’agent J*, je me rendais à Bercy pour assister au concert tant attendu de Lenny Kravitz !
Très honnêtement, j’ai eu du mal à cerner son dernier album “Black and White America“. Aussi, j’attendais avec impatience la version live de l’album pour m’en faire une idée.
J’en ai les genoux qui tremblent rien qu’en y repensant …
Ce soir-là, Lenny nous a fait hurler, vibrer, transpirer, pleurer, danser, courir et enfin rêver.
Après la 1ère partie de Raphaël Saadiq qui m’a paru duré une éternité, vient l’attente insoutenable de l’artiste, cinq minutes durant, dans le noir, aux aguets, dans les sifflements et les cris hystériques.
Juste pour vous rappeler un peu le sex-symbol que c’est, hein, tout de même !
Et alors que retentissent les notes énergiques de “Come On Get It”, Lenny s’empare enfin de la scène et nous fait hurler de bonheur.
Cela faisait si longtemps …
Si longtemps que sa voix m’émouvait, que son déhanché me rendait muette, que ses mélodies caressaient mes journées.
Tant d’années à l’écouter, à l’imiter, à me délecter de sa voix musquée et pourtant si délicate …
Le flash-back a été total lorsqu’il a commencé à entonner “Always On The Run“, suivi de l’haletant “American Woman“.
Déjà en transe, j’ai définitivement perdu le fil du temps lors du roulement de tambour de “It Ain’t Over ‘Til It’s Over“.
J’ai, ensuite, agréablement été surprise par la version live de “Black and White America” qui m’a conforté dans l’idée qu’un Lenny live est toujours plus savoureux qu’un Lenny numérique. L’écran géant projetait un clip fait de photos d’enfance de Lenny et je dois avouer que cela renforçait le sens de cette chanson.
Puis, j’ai connu un moment de grâce, un vrai.
Un de ces moments où l’émotion est si forte que le simple son du piano vous retourne le coeur et vous arrache des larmes …
C’est à ce moment-là que j’ai compris que “Stand By My Woman” était la chanson la plus simple et la plus honnête qu’il avait écrite.
Une chanson qui parle de prise de conscience, de déclaration de la dernière chance, de pardon et d’amour inconditionnel.
Rien que ça… rien que ça pour me faire pleurer comme un bébé pendant 4 minutes 20 au milieu de 18 000 personnes…
J’ai adoré ce moment qui restera l’un des plus beaux que j’ai vécus en concert.
Après ça, c’est le flou total, je me souviens avoir chanté, avoir crié, avoir dansé, avoir tapé des pieds, avoir beaucoup ri mais ne me demandez pas ce qui s’est passé dans le détail, j’étais loin, très très loin !
J’ai émergé de mon trip musical lors de la dernière chanson …
Une fin de concert immortalisée par une ambiance survoltée et un “Let Love Rule” qui a duré près d’une demi-heure, Lenny ayant décidé de faire un tour du POPB dans le public (20 bonnes minutes le “petit” tour :p).
Imaginez-nous tous, aux aguets, prêts à courir, scrutant les spectateurs à la recherche de gardes de corps, de mouvements de foule pour nous indiquer sa position. Ce fut un final en apothéose pour ce concert qui fait désormais partie de mes références.
Bien que Lenny ait livré ses créations les plus prolifiques assez tôt dans sa carrière et bien que la qualité de ses œuvres n’ait pas toujours été égale au fil des années, il prouve chaque soir qu’il est un immense musicien et un véritable showman.
Je suis ressortie du concert gonflée à bloc, de l’énergie à ne plus savoir qu’en faire et avec une certitude : Lenny Kravitz est une bête, oui … mais une bête de scène !
A noter : l’excellente performance de ses musiciens dont l’incroyable Craig Ross qui ajoute par ses riffs une profondeur hors normes aux chansons de Lenny. Coup de chapeau également au saxophoniste Harold Todd pour ses envolées.
Je sais bien que vous êtes verts de jalousie et que vous auriez aimé être là…
Mais comme je suis absolument merveilleuse, je vous propose de me faire pardonner en vous faisant gagner le dernier album de Lenny, “Black and White America” qui en plus, truc de psychodingue, contient un cd bonus avec 6 vidéos dont deux acoustiques inédits. Si c’est pas un super cadeau, ça ! :p
A gagner : CD + Bonus
Pour remporter ce lot, vous n’avez qu’à poster un commentaire en bas de cet article en indiquant votre chanson préférée de Lenny Kravitz et en m’expliquant pourquoi vous l’aimez. Le gagnant sera choisi par tirage au sort parmi les réponses complètes. Vous avez jusqu’au mardi 31 janvier minuit pour participer.
Encore une chanson qui a bercé toute une période de ma vie : la chanson “Let Love Rule” de Lenny Kravitz !
Pour être honnête, j’ai tellement écouté et trimballé partout ce CD qu’aujourd’hui, il est rayé et il saute toutes les trente secondes. Pour l’accro de l’objet CD que je suis, c’est très dur moralement … :(
Outre la voix inimitable de Lenny Kravitz, il y a l’orgue, le rythme qui ne sort plus de la tête, et ce saxo… ce saxo… mouarfff … Combien de fois j’ai imité en cachette le saxophoniste pendant son solo … :D.
“Let Love Rule” est un hymne ! L’hymne du funky ! Et le mieux, c’est qu’en 20 ans (l’album “Let Love Rule” est sorti en 1989), cette chanson n’a pas pris une ride.
Lenny Roxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxe !!
PS : Je me permets un dernier commentaire déplacé à la vue de cette photo : “Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr”
Pour avoir le même à Noël, on fait comment ?
PS2 : Je sais, je l’ai mise deux fois mais bon, je m’étais trompée et je n’ai pas eu la force d’en retirer une…