A la poursuite du bonheur !

J’ai cet album depuis mon anniversaire (depuis novembre ! ça fait 7 mois !!! Audrey, sérieusement… 7 mois ! :o).


Honte à moi, je n’y ai pas touché avant le mois d’Avril… :$

Parfois, il y a des moments comme ça : “Je suis trop con stupide, pourquoi ai-je perdu autant de temps ?”. C’est un de ces moments-là. :$


J’ai pourtant eu l’occasion de me pencher sur la question à plusieurs reprises notamment lorsque je vous ai présenté sa reprise de “Please Don’t Stop The Music” de Rihabeurk.

Mais je n’en ai fait qu’à ma tête et quand j’ai décidé que ce n’était pas le moment, et ben ce n’est pas le moment et puis zut !


Et en Avril, j’ai eu une révélation : il me manquait…

Sa voix me manquait… sa tignasse ébouriffée… ses petits yeux espiègles… son groove unique… sa manière de me faire tortiller des fesses et chanter hyper fort / hyper faux…


Ni une, ni deux, j’ai fouillé dans ma CDthèque pour retrouver ce joli cadeau que m’avait fait ma petite soeur (merci encore chouchou !).

Et depuis, je l’ai écouté près de 367 fois ! Je me suis prise une grosse trempe en pleine figure, comme s’il se vengeait de tous ces mois où je l’avais mis de côté.


Je parle bien sûr de Jamie Cullum ! Son dernier album “The Pursuit” est absolument phénoménal !!


Il alterne balades et jazz-rock énergiques. Chaque fois que mon pouls se calme un peu, l’orchestration repart à la chanson suivante et me relance dans une danse endiablée.

Je les aime toutes. Chacune a son propre style, son propre tempo et son propre charme.


Un avant-goût de paradis (dépêchez-vous de l’acheter ou vous le regretterez très très fort!) :


I’m All Over It


A écouter pour se filer un petit coup de fouet de bon matin ou en cas de coup dur.

Dans cette chanson, Jamie nous parle de la période post-rupture amoureuse : les moments douloureux et puis finalement, la prise de conscience qui s’opère et laisse progressivement la place à une nouvelle histoire.


If I Ruled The World


Reprise du classique jazzy de Leslie Bricusse et Cyril Ornadel… Un moment de grâce !

A écouter au calme, les yeux fermés & just enjoy !


Music Is Through


Quel subtil mélange d’électro et de jazz ! J’ai un coup de coeur particulier pour cette chanson même si le décalage entre le boom-boom et le piano au début du morceau me met toujours très mal à l’aise… (Cartésienne je suis…)

C’est la chanson que j’écoute chaque matin quand je vais attraper mon train. Elle me donne une sacrée pêche et parfois même, elle me motive à courir pour ne pas louper ce dernier… Trop douée cette chanson !


Il est magnifique ou il est pas magnifique ce carrelage Jamie ?

C’est la panique dans ma discothèque !!!!!

Depuis quelques semaines, c’est la panique sur mes comptes Deezer, Spotify, sur mes lecteurs WMP et iTunes, sur ma chaîne Hifi et dans mon iPod… : Panic! At The Disco s’est emparé des ondes !!

Je connaissais ce groupe depuis un petit moment mais c’est l’ami Eric B. qui a réveillé mes esgourdes en m’envoyant “Nine In The Afternoon” via Spotify il y a 3 semaines.

Grand Dieu !!! Un déluge d’instruments, de pulsations, de “boom-boom shack” dans ma tête, d’énergie dans mon corps ; les pieds qui frappent mécaniquement le sol, les lèvres qui s’articulent en mots incompréhensibles… je suis prise de frénésie !

A entendre les voix, je m’attendais à des mecs ayant pas mal roulé leur bosse, dans le circuit depuis longtemps, ayant changé plusieurs fois de formation musicale… encore une fois, je suis bien tombée à côté…


Panic At The Disco – Nine In The Afternoon

Ils ont tous moins de 25 ans, des têtes de bébés. Ils manient les combinaisons instrumentales comme c’est pas permis.

La première fois que je les ai entendus, de multiples noms me sont venus en tête : The Kinks, The Beatles, The Beach Boys…

Le groupe Panic! At The Disco a été fondé en 2004. Initialement composé de Brendon Urie (piano), Spencer Smith (batteur), Jon Walker (bassiste) et Ryan Ross (guitariste), le groupe a connu en 2009 quelques changements avec le départ de Jon et Ryan qui ont préféré se lancer dans une nouvelle aventure avec “The Young Veins”.

Encore passionnés par le son de Panic!, les deux premiers ont, eux, choisi de continuer sur leur lancée en recrutant Dallon Weekes à la basse et Ian Crawford à la guitare pour remplacer leurs anciens camarades.

Ils sont actuellement en train de préparer le quatrième album du groupe. Pas de concert prévu en France pour le moment. Il faudra attendre leur prochaine tournée.

Quant à The Young Veins, ils s’en donnent à coeur joie avec une foultitude de dates aux Etats-Unis et au Canada cet été : http://theyoungveins.com/

Merci de m’avoir rafraîchi la mémoire, sieur Eric !! 

NB : Avec ou sans point d’exclamation, “Panic! At The Disco” ou “Panic At The Disco” reste le même groupe. Il s’agit juste d’un oubli, d’une flemme ou d’un pied de nez de la part des musiciens. Perso, je préfère avec. Etonnant, non !!!!!!!!?

We are “born to run” so “keep on running” !!

Un vent frais souffle sur la pop-folk américaine en ce moment !! 

Je vous avais déjà parlé de Robert Francis dans mon humeur du 16 janvier.

Cette semaine, j’ai enfin pu écouter un peu plus attentivement son album “Before Nightfall”.

Ce jeune artiste américain de 22 ans a réussi un coup de maître avec ce deuxième album, très abouti.

Après “Junebug”, j’ai craqué pour la chanson “Keep On Running”.



Ce morceau me rappelle l’indispensable “Born To Run” de Springsteen sorti sur l’album du même nom en 1975.

Même envie de liberté, même course effrenée pour la survie, même rythme entêtant…

Robert Francis maîtrise à merveille cette chanson qui, pourtant, pourrait être bien plus grosse que lui.

Il stoppera sa course en France le 23 juin (hey, ce sera ma fête en plus ) au Trabendo.

Si l’un(e) d’entre vous me dit où je peux encore réserver des places pour ce concert, je jure d’écrire un article à sa gloire !! 

Il sera également de retour en France pour une série de concerts fin novembre (mais il est hors de question que j’attende jusque là !)

Je me rendrai certainement au showcase qu’il donne à la Fnac Saint Lazare samedi prochain (le 19) à 16h.

En espérant vous y croiser (rousse, yeux clairs, grosses cernes d’insomniaque, tâche de chocolat sous la bouche, borsalino beige et foulard multicolore qui fait “gling gling”)